Cet article a pour objectif de déterminer les modalités par lesquelles, depuis l’après-guerre, un récit banalisant et parfois apologétique du fascisme a circulé.

Le centenaire des révolutions russes a donné lieu, en Europe occidentale, à d’abondantes commémorations dans le monde académique et culturel.

Reseña de la XXII Cátedra Anual de Historia Ernesto Restrepo Tirado, “Monumentos, antimonumentos y contramonumentos: espacios para la memoria”, Museo Nacional de Colombia, 23 de noviembre de 2018.

A propósito de Quentin Deluermoz, Pierre Singaravelou, Hacia una historia de los posibles. Análisis contrafactuales y futuros no acontecidos (Buenos Aires, SB, 2018).  

En revenant sur la production historique latino-américaine, Omar Acha et Carlos M. Herrera, entament un échange sur l’état de la recherche, ses avancées et ses impasses, en esquissant un agenda pour l’avenir.

Sous forme d’un diaporama, l’un des co-commissaires de Et 1917 devint révolution…, organisée à La Contemporaine pour le centenaire de 1917, retrace un des récits suggérés par l’exposition, soucieuse d’échapper à l’aimantation de la mémoire de l’année révolutionnaire par les seuls événements d’Octobre.

Lisa Ginzburg interroge Davide Orecchio au sujet de son dernier livre, Mio padre la rivoluzione (2017), de son rapport au temps et à l’histoire.